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Motivation

Concentrez-vous sur un objectif à la fois pour rester motivé

Thinh · 31 août 2013 · Laisser un commentaire

Si vous êtes du genre à avoir plein de projets, alors vous devez savoir qu’il est très facile de se sentir accablé par des objectifs multiples.

La motivation, en soi, est une très bonne chose, mais qui se peut parfois se perdre rapidement, au point où vous n’avez plus envie de rien faire. L’écrivain Scott Young suggère de garder sa motivation en se concentrant sur un seul objectif à la fois.

Ce que souligne Scott Youg, ce n’est pas le fait d’être multitâche, mais plutôt d’essayer de compléter plusieurs objectifs à la fois. Disons par exemple que vous essayez d’apprendre la programmation, mais en même temps, vous apprenez aussi la guitare. Vous pouvez être très motivés pour apprendre les deux, mais le faire en même temps pourrait au final être un peu trop.

Il explique:

Bien souvent on ne se rend pas compte du problème inverse: trop de motivation. Trop d’enthousiasme mène à commencer une multitude de projets que vous ne finirez jamais. Le problème qui survient alors est que vous divisez votre attention et votre concentration avec la conviction erronée que parviendrez à tout gérer dans le temps.

Sa solution consiste à ne se fixer qu’un objectif à la fois. Cela ne veut pas dire que vous ne devriez pas continuer le sport ou votre régime pendant que vous êtes sur un gros projet, mais que vous devriez porter toute votre attention sur un seul but à la fois.

Pour en savoir plus, vous pouvez lire l‘article complet de Scott Young sur son blog (en anglais).

Illustration « Bow And Target » by bplanet.

Être productif (même quand on a la flemme)

Thinh · 26 août 2013 · 7 commentaires

Les symptômes

Il est 10h du matin. Vous vous êtes réveillé il y a à peine plus d‘une heure, vous avez pris juste un café comme petit déjeuner. Vous devez vous mettre au travail. Vous devez attaquer le projet qui vous tient tant à cœur et auquel vous n’arrêtiez pas de penser hier soir. Celui que vous étiez si impatient de commencer.

La flemmeMais aujourd‘hui, maintenant, à cet instant précis… non. Vous n’en avez pas envie. Vous avez la “flemme”, comme on dit. Toute votre motivation de la veille a disparu, engloutie dans les tréfonds de la léthargie du matin. Vous n’avez pas envie de bosser. Plutôt aller sur Youtube, ou faire un tour sur Facebook.

C‘est comme ça le matin. Et puis l’après-midi, on vient de manger, on est en phase digestive, pas possible de s‘y mettre non plus. Et le soir c’est pareil.

Et lorsque vient le moment de se coucher, toute la motivation qui avait disparu vous revient subitement. Vous vous dites que c‘est vraiment un super projet, important, et qu’il faut vous y mettre. Vous vous y mettrez demain.

Mais aujourd‘hui vous n’avez rien fait.

Cela vous rappelle quelque chose ? Pour être honnête, moi oui. J‘ai peut-être un petit peu exagéré, mais personnellement c’est quelque chose qui m’est arrivé très souvent.

Le traitement

Alors, quelle est la solution ? Comment sortir de ce cercle vicieux, de cette spirale de la procrastination qui vous absorbe doucement mais surement ? En d’autres termes, comment devenir productif ?

Je vais vous donner une technique, où plutôt une combinaison de techniques, qui peut vous permettre changer le cercle vicieux en cercle vertueux. J’appelle cette solution le “principe du petit effort”.

Le principe du petit effort

Pour commencer, il faut appliquer le tout premier conseil que j’ai donné sur ce blog: il faut s’y mettre. C’est vraiment le plus important. Si vous ne montez pas dans le bateau, pas de croisière. Si vous ne démarrez pas la voiture, pas de voyage. Il faut vous y mettre !

Même 10 minutes seulement. L‘important est de ne pas se sentir obligé d’en faire plus. Soyez indulgent avec vous-même et forcez-vous seulement 10 minutes. Je me sers de cette technique psychologique presque tout le temps, et ça fonctionne à chaque fois.

Ensuite, il faut appliquer une deuxième technique. Souvent, pendant ces 10 minutes, vous vous retrouvez seulement à réfléchir à ce que vous pouvez faire, par quoi commencer. En général, quelle que soit la tâche ou le projet, cela prend plus de 10 minutes. Découpez votre projet en tâches, et re-divisez ces tâches en sous-tâches. Créez vous une “TO DO list”. L’astuce au final est de tout diviser en petites tâches, qui seront beaucoup plus faciles à appréhender une par une au fur et à mesure.

checklistN‘hésitez pas à vous servir d’outils comme Trello, Any.do, Wunderlist, ou encore Google Keep. Ce sont des très bons outils (la plupart en anglais) pour gérer ses listes de tâches.
Si vous êtes plus crayon et papier, armez vous d’une feuilles blanche et écrivez la liste des choses à faire, et barrez chaque tâche réalisée.

N‘oubliez pas, l’important est de bien subdiviser les tâches en plus petites, et faire une tâche à la fois.

Le résultat

Si vous combinez et appliquez ces deux techniques, vous vous rendrez compte d‘une chose: quelque soit le projet, il vous apparaîtra au final pas si dur ou si long. Le principal facteur qui nous incite (consciemment ou non) à repousser les choses et à procrastiner, c’est la sensation de difficulté et de longueur de la tâche à laquelle nous faisons face.

Le simple fait de se donner une limite de temps, et de diviser son projet en une liste de petites tâches facilement abordables change réellement la donne. Une fois que vous avez défini vos petites tâches, occupez-vous d’elles une par une. Donnez vous des “blocs” de temps de 10 minutes, 30 minutes, 1 heure. Pas besoin de plus.

Et vous verrez qu’au final, à coup de “blocs de temps”, vous réaliserez vos projets beaucoup plus vite que vous ne le pensiez, et sans même vous en rendre compte vous serez devenus réellement “productifs”.

Alors essayez, et dites moi: pour vous, est-ce que ça a marché ? Si vous avez des remarques ou des suggestions pour améliorer encore cette approche, n‘hésitez pas à m’en faire part dans les commentaires.

Illustration principale, photo « Checklist » par SmartRock. Photo « Yawning Cat » » par Dan.

Identifiez les obstacles pour garder en ligne de mire vos objectifs

Thinh · 5 mai 2013 · Laisser un commentaire

Rester concentré et motivé sur ses objectifs n’est jamais facile. C’est connu, penser au côté positif qu’apportera l’accomplissement de son objectif est une bonne chose. Mais il est aussi nécessaire de prendre en compte les obstacles qui se présenteront à vous.

Tout objectif, que ce soit de prendre une bonne habitude, de terminer un projet, ou de s’améliorer dans un domaine, comporte des obstacles. Il est facile de s’imaginer le bonheur procuré lorsque vous atteindrez votre objectif, mais il est également nécessaire de contraster les points positifs avec les obstacles. Pour ce faire, écrivez-en une liste:

Faites l’essai. Pensez à une de vos ambitions. Écrivez 3 points positifs apportés par votre succès. Puis faites l’inverse. Identifiez 3 obstacles à l’achèvement de votre objectif et réfléchissez-y.

Le fait d’écrire 3 obstacles à votre objectif jouera un double rôle. Premièrement, cela vous permettre de savoir à quoi vous en tenir et à vous y préparer. Cela vous permettra de connaître les choses qui pourraient vous poser des difficultés et donc comment vous orienter et réagir pour les surmonter. Deuxièmement, cela pourrait aussi vous faire gagner du temps. Dans le cas ou les obstacles se révéleraient vraiment difficiles, voir inatteignables, vous saurez tout de suite si il vaut mieux laisser tomber.

Illustration par Stuart Miles

Comment (et pourquoi) embrasser l’échec

Thinh · 3 avril 2013 · Laisser un commentaire

Depuis des lustres, le principe fondamental est que vous ne devez jamais vous prédestiner à l’échec. C’est vrai dans la plupart des cas, mais ce n’est pas aussi simple qu’un cas de figure « noir ou blanc ». L’échec est une bonne chose pour vous, et c’est souvent le seul moyen d’apprendre et progresser. Se prédestiner à l’échec peut sembler bizarre, mais c’est en réalité bien plus bénéfique que vous ne le pensez.

Nous savons qu’apprendre de nos erreurs est l’une des meilleures façons d’apprendre, mais l’idée de se prédestiner à l’échec est un chemin peu d’entre nous sont prêts à prendre. Ceci dit, il est important de se rappeler qu’échouer n’est rien, et si vous parvenez à créer une « zone de sécurité » où vous n’avez pas peur d’échouer lors de l’apprentissage de nouvelles compétences, vous apprendrez et progresserez mieux à la longue.

Pourquoi embrasser l’échec est une bonne chose

Bien que cela semble à l’encontre du bon sens, il semble que la confusion soit bénéfique à l’apprentissage. Des chercheurs ont observé que lorsque vous éprouvez de la confusion envers des sujets conceptuels, vous avez tendance à mieux apprendre et utiliser ces nouvelles connaissances pour résoudre des nouveaux problèmes. En fait, plus vous rencontrez des difficultés, mieux vous apprenez.

L’idée ici est de se plonger dans des sujets qui vous intéressent, même si vous n’y connaissez pas grand chose. Oui, vous serez sûrement un peu perdus en lisant des choses à propos de l’astrophysique (à moins que vous ne soyez astrophysicien), ou de la programmation. Mais vous finirez par dépasser le stade du « je suis nul » en apprenant.

Essayez de nouvelles choses sans guide

Souvent, nous ne nous rendons même pas compte que vous échouons avant que quelqu’un nous le fasse remarquer. C’est le cas dans toutes sortes de compétences, de là menuiserie à la photographie. Si le résultat est quelque chose qui nous convient, nous n’avons aucun moyen de savoir que nous nous y sommes mal pris. Il s’avère que c’est une bonne chose dans beaucoup de cas, et l’apprentissage que vous en faites dans tous les cas en vaut le coup.

Si vous voulez apprendre une nouvelle compétence, il vaut parfois mieux de foncer la tête baissée sans vraiment savoir ce que vous faites. Bien entendu, cette façon de faire est la meilleure si vous apprenez quelque chose qui n’a pas de conséquences importantes en cas d’échec, comme pour la photographie ou l’art (par contre pour réparer les freins d’une voiture, évitez).

Imaginions que vous vouliez apprendre la photographie. Vous pourriez commencer par consulter des guides ou des livres sur le sujet. Mais une meilleure façon d’apprendre est de pratiquer directement vous même. Amusez-vous, testez des choses, observez les résultats et voyez ce que vous aimez. Après quelques jours ou semaines, consultez un guide et apprenez. Vous serez surpris de voir à quel point vous comprendrez mieux un sujet après avoir expérimenté vous même.

Ne consultez pas les réponses

Ce qui est génial avec internet, c’est que quelque soit votre problème, la solution peut se trouver en une recherche Google. Pourtant, si vous vous efforcez de ne pas consulter ces réponses, vous pataugerez sûrement, mais vous finirez par bien mieux comprendre les rouages et la mécanique interne de ce que vous faites.

Par exemple, je suis un piètre cuisinier, mais je veux progresser. Comme la plupart des gens, je peux suivre des recettes et cuisiner un « dîner presque parfait ». Mais en faisant cela, je n’apprend pas réellement comment cuisiner. Je ne pourrai pas vous dire quels épices améliorent le goût du plat, ou pourquoi je doit casser un œuf dans un bol avant la farine.

Donc, pendant les deux derniers mois, je me suis débarrassé de tous mes livres de recette, et j’ai seulement gardé une liste d’ingrédients. Pas de mesures, pas de temps de cuisson. Une ou deux fois par semaine, je m’y mets, et j’essaie de faire des plats juste avec les ingrédients. J’ai eu de nombreux ratés, mais au final j’ai fini par comprendre et vraiment apprendre des choses sur l’art de cuisiner.

Tout ça pour dire que, lorsqu’on se retient de suivre bêtement un guide ou des réponses, peu importe le domaine (la cuisine, le bricolage, l’art ou la programmation informatique), nous avons tendance à essayer toutes sortes de choses, et nous apprendrons mieux car nous aurons cherché et « galéré ». Alors de temps en temps, accordez-vous un moment pour chercher et vous prendre la tête, plutôt que de foncer chercher la solution pré-mâchée sur internet, dans un bouquin ou auprès d’une personne compétente.

Nous faisons tous des erreurs, et vous accorder le droit d’être nul rendront ces erreurs plus faciles à digérer. Mais les erreurs sont nécessaires lorsque vous voulez réellement apprendre quelque chose, et parfois le meilleur moyen pour commettre ces erreurs est de vous mettre volontairement en situation propice à l’échec.

Par Thorin Klosowski. Traduit de l’anglais. Photo par Phaitoon

Le secret pour être autodidacte: la curiosité

Thinh · 25 mars 2013 · 4 commentaires

curiositéUne des choses que la plupart des autodidactes ont en commun est la curiosité. Une immense et prenante curiosité. Si vous parvenez à développer votre curiosité et faites preuve de patience, vous pouvez apprendre n’importe quoi vous-même.

De nombreuses personnes ont demandé au designer autodidacte Tobias van Schneider comment s’auto-former. Sa réponse: tout réside dans la curiosité et l’envie d’apprendre. Avec ces deux facteurs, les choses se passent d’elle mêmes, car s’auto-former est en réalité un processus naturel:

Tout commence avec la curiosité et VOTRE premier pas. Écoutez votre instinct. Mon instinct m’a dit de prendre des morceaux, de voir leur fonctionnement, et de les mettre ensemble. Personne d’autre ne m’a dit de faire cela. Quand vous vous forcez à réaliser ce processus, les choses se déroulent selon votre volonté.

Développez et entretenez votre curiosité, afin d’en apprendre toujours plus. Van Schneider donne quelques astuces pour devenir autodidacte (et meilleur).

  1. La première des choses, c’est de s’y mettre. Je l’ai dit et re-dit, il faut commencer. Faites ce que vous voulez faire et démarrez par la première chose qui vous vient à l’esprit. Il n’y a rien que vous puissiez faire de travers.
  2. N’écoutez pas les gens qui vous disent ce qui est bien ou mauvais. Ces gens essayeront toujours (consciemment ou non) de vous « contraindre » à rentrer dans le moule, de vous standardiser, voire même de vous décourager. Les gens me disent souvent que je suis dans mon monde, naif, que ma réalité est déformée. Peut-être, mais je suis optimiste et je sais au fond de moi que je suis le bon chemin.
  3. Entourez-vous de gens qui vous motivent et qui vous font vous sentir bien par rapport à ce que vous faites. Ces personnalités sont rares, donc si vous en trouvez, gardez-les.
  4. Aidez les gens. Même si vous venez de commencer quelque chose, utilisez votre connaissance pour aider les autres. Pourquoi ? Essayez, vous verrez. Des choses « magiques » se produiront, je vous le promets.
  5. Entourez-vous toujours de gens « meilleurs » que vous. Ou plus « fous », ou « différents ».
  6. Enfreignez les règles. Sérieusement, c’est l’une des règles les plus importantes quand on est autodidacte. Soyez rebelles, allez dans le contraire des règles ou du bon sens et n’ayez peur de rien. Et si vous échouez ? Relevez-vous, apprenez de votre échec et réessayez. Ce que vous faites ne vous plait pas ? Changez. C’est aussi simple que cela.
  7. Arrêtez de vous plaindre. Je sais c’est extrêmement difficile. Moi-même j’ai tendance à me plaindre dès que j’en ai l’occasion. Mais se plaindre est le chemin facile et rien n’évolue quand vous le faites, à part votre énergie négative.

Voilà dans les grandes lignes les choses que vous devez faire ou mettre en place pour progresser et devenir meilleur dans quoi que ce soit. Soyez curieux, positif, et n’ayez pas peur de l’échec, ni de sortir du « chemin ».

Extraits de Melanie Pinola et Tobias van Schneider. Illustration par imagerymajestic.

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